LE NOUVEAU PROJET DE RESTRUCTURATION DE LA ROUTE DE TOULOUSE A LA BARRIERE

 

Après un premier projet de restructuration de la route de Toulouse avorté, Monsieur Fabien Robert, accompagné d’Alain Moga, nous a présenté mi-février un nouveau projet aussitôt rejeté par les associations représentant les piétons, les handicapés et les vélos et également par Cauderes.

 

Comme au regard de la loi (voir plus loin), ce premier projet était dans l’illégalité car ils avaient « oublié » les pistes cyclables, ils ont eu l’idée géniale de les mettre sur les trottoirs avec les piétons et ceci sur le trottoir longeant le mac-drive. Dans la direction Bordeaux-Villenave d’Ornon , rien n’est prévu, les cyclistes devront circuler à leurs risques et périls comme aujourd’hui.

 

Ce projet répond à la même logique du « tout automobile » laissant quelques miettes de l’espace public pour les déplacements doux. Or, Les associations de « droits du piéton » représentant aussi les handicapés ainsi que celles défendant les intérêts des cyclistes (vélocité) rejettent ce genre d’aménagement qui par expérience est d’autant plus inconfortable pour les vélos et dangereux pour les piétons, notamment pour les malvoyants et les jeunes enfants, qu’il se fait à hauteur de commerces et qui plus est avec une piste cyclable étroite (inférieure à 1,20m).

 

De plus, ce projet traduit une méconnaissance totale du terrain :

 

Imaginez un peu la circulation des vélos sur le trottoir avec les piétons au droit de l’entrée et sortie du Mac-Drive, sur le trottoir de Speedy où le piéton est déjà obligé de se faufiler entre les voitures si non de descendre sur la chaussée. Et que dire de ce qui se pourra se passer devant la terrasse de la pizzeria et l’étal extérieur de la marchande de légumes !

Nous avons fait quelques photos édifiantes de la situation actuelle que vous pouvez retrouver sur notre blog.

 

En outre, nous avions demandé des plateaux pour sécuriser les passages piétons et notamment celui au droit du mac-drive particulièrement dangereux. Ils ont été refusés et rien n’est prévu pour sécuriser ce passage piéton si ce n’est le prolongement du « haricot »

En revanche ces plateaux sont proposés sur les rues adjacentes où pour la plupart, leur utilité est contestable.

En ce qui concerne les bus, le couloir en site propre a totalement disparu et ceux-ci vont continuer à s’engluer dans une circulation très ralentie aux heures de pointe.

 

Enfin, nous avions demandé que ce projet intègre une réflexion sur l’ensemble des déplacements dans le quartier car de nombreux riverains se sont plaints d’une circulation anarchique et inadaptée à la dimension des rues adjacentes en raison d’un report de circulation de la route de Toulouse sur ces voies. A ce titre, un collectif de riverains, las d’une situation particulièrement grave au carrefour de la rue Ladous / Bossuet / C.Mendes (5 accidents en quelques mois) et de la circulation de véhicules sur le trottoir de la rue Louis Cabié, est intervenu auprès des élus.

 

Or, ce projet n’intègre pas ces paramètres et reste uniquement cantonné à l’aménagement de cette portion de la route de Toulouse apportant une réponse très limitée aux problèmes de circulation du quartier.

 

 

CE QUE DIT LA LOI

 

 

Face à la congestion des villes et à ses conséquences négatives en matière de santé publique, les décideurs ont pris conscience de la nécessité de revoir les modèles de déplacements classiques liés au « tout automobile ». Ils prônent de nouveaux modèles favorisant le développement des déplacements « doux » (transports publics, usage du vélo et promotion de la marche à pied). Ils ont ainsi légiféré (loi sur l’air de 1996) et adopté des plans de déplacements urbains revisités par la loi S.R.U.

 

La loi sur l’air, dénommée « Laure » s’applique aux agglomérations urbaines à compter du 1er janvier 1998. Elle a été codifiée dans le code de l’environnement à l’article L. 228-2:

 

«  A l’occasion de réalisations ou de rénovations de voies urbaines, à l’exception des autoroutes et des voies rapides, doivent être mises au pont des itinéraires cyclables pourvus d’aménagements sous forme de pistes, marquages au sol ou couloirs indépendants, en fonction des besoins et contraintes de la circulation. L’aménagement de ces itinéraires cyclables doit tenir compte des orientations du plan de déplacements urbains, lorsqu’il existe. »

 

Les six orientations du plan de déplacements urbains de Bordeaux :

 

-La diminution du trafic automobile,

-Le développement des transports collectifs et des modes économes et les moins polluants (marche à pied, vélo),

-L’aménagement et la gestion du réseau principal de voirie en l’affectant aux différents modes de transports,

-L’organisation du stationnement sur le domaine public, sur voirie et souterrain,

-La réduction de l’impact sur la circulation et sur l’environnement du transport et de la livraison des marchandises,

-L’encouragement pour les entreprises et les collectivités publiques à favoriser le transport de leur personnel par l’utilisation des transports en commun et du covoiturage.

 

Les résultats attendus sont :

 

-Une amélioration de la qualité de notre environnement en mettant en place un programme ambitieux en faveur des deux roues et des piétons.

-Une amélioration des performances du système des déplacements

-Une amélioration de la solidarité d’agglomération.


Les actions à initier :

 

La thématique « sécurité routière » est renforcée par la loi « solidarité et renouvellement urbains » de décembre 2000 (loi S.R.U.) qui préconise le partage modal équilibré de la voirie, les actions 4.8 et 4.9 constituant une des clés de voûte du P. D. U.

 

4.8 Ne pas affecter plus de 50% du domaine public ou privé routier aux modes motorisés (circulation, stationnement et transports en commun hors site propre) pour toute création de voie urbaine hors contrainte particulière ;

 

4.9 Envisager pour toute voie nouvelle ou toute voie réaménagée des règles de partage physique de l’espace attribué à chacun des modes de déplacement (vélos, piétons, voitures) dans la limite de la règle précédente (50-50) si les contraintes le permettent et les conflits d’usage le nécessitent.

 

Article paru dans le journal Cauderes n° 21 

 

Des landes à l’océan …..tout près de chez nous !

La maison de retraite du Sablonat va faire l’objet d’un agrandissement substantiel sur le boulevard Albert 1er et le traitement du toit terrasse du nouveau bâtiment  tel qu’il est décrit dans la notice paysagère invite les pensionnaires à une promenade océane des plus poétiques…

 

Ainsi , le jardin Est, profite d’une exposition très ensoleillée, d’une largeur disponible assez important e, ainsi que d’une distance relative par rapport au Boulevard Albert 1er. Il offre la possibilité d’aménager un paysage connu de tous : LA LANDE

 

« Les jeux d’ombre et de lumière des Pins animent une promenade se faufilant au travers de modelés de terrain. Des talus donnent l’illusion d’un parcours au cœur de la nature et atténuent la présence des murs (..).Des plantations arbustives et tapissantes (Bruyère, Molinie, Arbousier….) interpellent la vue par leurs fleurs et leurs feuillages. Les doux modelés rapprochent ces plantations des mains mais aussi des yeux. L’écorce de Pin, utilisé en paillage « brûle » au soleil et diffuse le parfum évoquant les Landes. .

De petites rampes mènent délicatement l’usager vers une ambiance se rattachant à la précédente : L’OCEAN.

Une dilatation du caillebotis bois, en point haut de la promenade rappelle la plage. Cet espace fait face à une « mer » de graminées légèrement en contrebas (Oyat bleu, ou fétuque bleue et Cheveux d’Ange) évoquant les vagues en mouvement sous le souffle des courants d’air.

Le pincement de la terrasse est l’occasion d’un changement de décors . Ici une ambiance plus urbaine se fait ressentir . La présence de mur de propriété, le bruit de la circulation sur les boulevards nous replace au cœur de nos JARDINS DE VILLE.

La prairie fleurie laisse place au potager et au jardin aromatique.

Des carrés pédagogiques surélevés d’ environ un mètre par rapport à la circulation sont accessibles par tous facilitant le contact aux plantes et la diffusion des parfums . Les séances de jardinage sont l’occasion de retisser ou entretenir le rapport de l’homme à l’élément nourricier que représente  le potager.

Afin d’atténuer la présence des murs mitoyens on installe des palissades supports de plantations grimpantes à fleurs ou à fruits (vignes, kiwi, mur, rosier, glycine…) ou d’arbres fruitiers (poiriers, pommiers). »

 

COPENHAGUE

Copenhague par-ci, Copenhague par-là, vous avez tous entendu parler de ce sommet réunissant les grands de la planète dans le but de réduire les émissions de gaz à effet de serre pour faire face au réchauffement climatique.

Mais Copenhague, cela nous concerne tous, dans nos gestes quotidiens : nos déplacements, l’isolation de nos logements, notre consommation… c’est notre mode de vie de pays riche qui est ainsi remis en cause.

Pas facile de changer nos habitudes, pas facile de penser autrement et pourtant si nous revenions à un peu plus de sobriété comme la pratiquaient nos grands-parents, serions-nous moins heureux ?

 

« Vivre tous, simplement, pour que tous puissent, simplement vivre » (Gandhi)

Article paru dans le journal Cauderes n° 20

Un clou chasse-t-il l’autre ?

C’est avec joie que nous avons appris le déménagement de l’agence Ada ( à l’angle du boulevard et du cours de la Somme), dont les camions bouchent les trottoirs, la piste cyclable et l’horizon de certains riverains depuis des lustres.. c’est avec consternation que nous avons appris qu’elle se réinstallait quelques mètres plus loin, avec soulagement que nous avons reçu la nouvelle de l’acquisition d’un emplacement parking par cette même agence et le retrait du quartier des véhicules grand format et avec découragement que nous avons vu s’ouvrir une nouvelle agence de location de véhicules à la place de la première ! 

Comment a-t-elle eu l’autorisation d’ouvrir ?

A-t-elle un parking à sa disposition ou allons nous juste voir fleurir une nouvelle race d’envahisseurs de voie publique ? 

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LA ROUTE DE TOULOUSE SE REFAIT UNE BEAUTE

Une fois n’est pas coutume, l’artère majeure de notre quartier va se faire relooker lors d’un vaste projet d’aménagement de la voirie. Saisissons la chance qui nous est donnée d’améliorer le cadre de vie de notre quartier en réfléchissant, tous ensemble, à ce projet.

La première présentation a laissé perplexes les participants : un diagnostic mal posé, une rénovation peu ambitieuse dont la logique nous a quelque peu échappé. Des remontées ont eu lieu et déjà le projet fait l’objet d’améliorations notoires.

Ainsi, suite à la demande de personnes âgées, le feu vert pour les piétons à la barrière a été rallongé de 10 secondes depuis le 22 octobre.

Il faut rendre plus sûre et conviviale cette pénétrante pour l’intégrer véritablement à notre quartier, et inciter les usagers à venir s’y arrêter. Il faut également prendre en compte les rues adjacentes dont le plan de circulation peut, à cette occasion aussi être repensé.

Article paru dans le journal cauderes n° 20

Comptage de bus

      La nuit, ne trouvant pas le sommeil certains d’entre nous comptent les moutons, d’autres, et c’est plus original, les bus… c’est le cas de l’un de nos amis qui réside près de l’abribus de la Barrière de Toulouse dans le sens Boulevard > Nansouty. Saviez-vous que le vendredi il en passe 319 en 24h ! Et donc 23 durant la nuit…

Il y a peu, ces bus étaient munis d’une annonce sonore, manifestement réglée non seulement pour les mal-voyants mais semble-t-il aussi pour les mal-entendants; résultat: des mal-dormants! Merci la TBC, car, enfin, ces bus sont devenus muets.


Article paru dans le journal cauderes n° 19

Le pont ouvrant Bacalan-Bastide : un projet démesuré et contesté

 Un nouveau franchissement sur la Garonne est nécessaire pour faciliter la liaison entre les quartiers de Bacalan et de la Bastide ainsi que la ville-centre. Il doit permettre également d’améliorer les déplacements entre la ville-centre et les communes périphériques qui la bordent immédiatement, ainsi qu’entre ces communes.

Cependant, ce franchissement doit être « humain » ; c’est à dire améliorer la vie des habitants en limitant les nuisances qui accompagnent tout franchissement Ce pont ouvrant fait l’objet d’une vive contestation des associations bacalanaises et bastidiennes, riveraines du projet, soutenues par les autres associations bordelaises (GARONNE AVENIR, TRANS’CUB AQUITAINE ALTERNATIVES, CLCV, CAUDERES….) qui estiment que « les inconvénients

prennent le pas sur les avantages et les nuisances l’emportent sur les bienfaits » :

 il va défigurer la ville car il est large comme 2 ponts d’Aquitaine, avec ses 4 piles hautes comme 4 tours de la cité administrative. Ce pont ne peut s’intégrer dans le paysage du fleuve et quais. Il risque ainsi de compromettre le classement de la ville de Bordeaux au patrimoine mondial de l’Unesco.

 il va servir de délestage du pont d’Aquitaine en accueillant au cœur de la ville, 53 000 véhicules et 8000 camions par jour ce qui va engendrer un bruit infernal pour les riverains et le long des quais.

Il va jouer un rôle d’aspirateur à voitures en accentuant la congestion urbaine notamment sur les boulevards. De plus, il va créer plus d’embouteillages notamment pendant les manœuvres d’ouverture et de fermeture du pont.

Il va compromettre l’avenir maritime de Bordeaux, car il serait un obstacle supplémentaire difficile à franchir par les navires qui risquent de rester bloqués à quai .

Enfin, il s’inscrit en totale contradiction avec les politiques affichées de lutte contre le réchauffement climatique par le choix du tout voiture.

Après avoir participé aux réunions dites de « concertation » organisées par la CUB, Les associations regroupées en « front associatif » ont fait le choix du tunnel qui présente l’avantage d’assurer un lien continu entre les deux rives, d’être adapté au trafic local, et de préserver l’avenir du port de la lune, avec un surcoût limité.

 

Pour plus d’informations et pour participer au débat nécessaire sur les avantages et inconvénients des différents projets de franchissement, avant l’enquête publique, consultez le blog du « front associatif » : http://pont-ou-tunnel.over-blog.com

 

Bien informés, les hommes sont des citoyens ;

mal informés, ils deviennent des sujets. Alfred Sauvy, sociologue

Article paru dans le journal Cauderes N° 14 (décembre 2006)

Une vérité qui dérange !

 Les français sont paraît-il de plus en plus nombreux à se préoccuper d’environnement et à demander que l’écologie devienne une priorité gouvernementale : 87% des habitants de notre région se disent inquiets pour l’avenir de la planète. Nicolas Hulot, nouveau chantre de l’écologie, est plébiscité par 43% des français pour se présenter comme candidat à la présidence de la république afin de lutter contre la dégradation de l’environnement.

La prise de conscience est bien réelle, alimentée par les discours alarmistes des scientifiques quant au réchauffement de la planète et au développement des gaz à effets de serre. Les livres et documentaires sur le sujet connaissent un succès inégalé.

Explosion des cancers

De même, devant l’explosion des cancers notamment chez l’enfant, les cancérologues tirent les sonnettes d’alarme : les cancers auraient augmenté de 35% en vingt ans, à âge égal, et 60 à 70% seraient dus à l’environnement. Selon le professeur Dominique Belpomme, signataire de l’appel de Paris et membre de l’association française pour la recherche thérapeuthique (Artac) « les maladies ne sont plus naturelles, elles sont en quelque sorte fabriquées par l’homme ». Les grandes pathologies seraient donc écologiques. L’homme est maintenant malade de la pollution de l’air, de l’eau, de la nourriture, du bruit, de solitude……

 

Et pourtant, que faisons-nous ?

Rien ou si peu …le tri sélectif peine à couvrir le territoire et on continue à incinérer en aggravant la pollution de l’air.

La pratique du vélo se développe mais reste marginale car dangereuse. Les pistes cyclables et autres aménagements de sécurité manquent.

Les transports en commun ne permettent pas de concurrencer l’usage de l’automobile : 45 kms de tramway à Bordeaux contre 100 kms au siècle précédent. Des bus en site propre trop rares.

Une nouvelle « éco-taxe» sur les produits électriques et électroniques, mais à la charge des consommateurs….Quid de « l’éco-conception » ?

Tous responsables

Nous, en tant que consommateurs car nous ne sommes pas prêts de changer nos modes de vie, à acheter des produits locaux plus chers, à réduire nos déplacements motorisés. Or, l’utilisation de la voiture est responsable de la moitié des émissions de gaz à effets de serre.

Nos élus, qui perpétuent le modèle du « tout automobile » hérité des 30 glorieuses. On multiplie les infrastructures tout en sachant pertinemment que l’offre alimente la demande : grand contournement autoroutier, village de marques à ST André de Cubzac, projet de pont démesuré Bacalan-Bastide, et au cœur de notre quartier un drive…. ainsi les propos du Président Chirac à Kyoto sont toujours d’actualité :

La maison brûle et nous regardons ailleurs !

Article paru dans le journal Cauderes N° 14 (décembre 2006)

PROJET AQUITANIS : ENCORE DES CUBES !

La mairie de Bordeaux vient de délivrer début 2006 un permis de construire pour la réalisation de 34 logements sociaux sur un terrain situé à l’angle de la rue Louis Cabié et du Boulevard Albert 1Er. Si le parti architectural adopté est conforme au P.O.S. il viole par contre les règles du P.L.U. qui seront applicables dans les prochaines semaines.

Enlaidissement continu de la barrière !

Ainsi, la mairie de Bordeaux n’a pas opposé de sursis à statuer tout en sachant que ce permis ne respecte pas les nouvelles dispositions d’urbanisme visant à améliorer l’intégration dans le paysage urbain des nouvelles constructions notamment dans les secteurs d’échoppes.

 

On va continuer à enlaidir le paysage urbain de la barrière à l’exemple de la résidence Sirius dont le permis de construire a été annulé par le Tribunal Administratif sur le motif du parti architectural.

Article paru dans le journal Cauderes N° 13 (juin 2006)

LA RONDE DES CAMIONS POUBELLES, RUE DE CAUDERES

 La riverains de la rue de Cauderes ont le « privilège » de voir ou plutôt d’entendre les camions poubelles 6 jours sur 7, et ceci en raison de la différence de traitement des déchets sur Talence et sur Bordeaux. En effet, cette rue, à cheval sur les deux communes ne bénéficie pas du même traitement pour le ramassage des ordures. A Talence, le tri sélectif a été mis en place alors qu’il n’est toujours pas opérationnel sur Bordeaux.

UBU roi, rue de Cauderes !
Ainsi, les lundi, mercredi et vendredi, les camions poubelles effectuent le ramassage, coté Talence et les mardi, jeudi et samedi, ils effectuent le même circuit, mais côté Bordeaux… Les riverains ne peuvent profiter d’une grasse matinée ….que le dimanche !

Quant au surcoût de ramassage, a-t’-il été seulement évalué ?

Article paru dans le journal Cauderes N° 13 (juin 2006)